L’article Linux Gaming Francophone: une place pour les créateurs de contenu est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Tout a commencé quand moi-même et d’autres créateurs de contenus francophones cherchions d’autres gens comme nous pour échanger des idées et faire du réseautage. Après quelques discussions, le forum a vu le jour. Par contre, ce qui devait initialement servir de point de rencontre pour les créateurs de contenus est devenu une place où les joueurs Linux sont les bienvenus, qu’ils soit créateurs de contenu ou non. L’essentiel: c’est d’apprendre à se connaître et échanger des idées, des articles, des astuces, des jeux, n’importe quoi qui puisse nous divertir et nous enrichir en termes de connaissances.
Si vous voulez discuter avec d’autres gens qui jouent sur Linux, rejoignez-nous au forum Linux Gaming Francophone.
N’hésitez pas à me faire part de vos questions et commentaires sur Twitter et Mastodon.
Aussi, si vous aimez ce que je fais et que vous utilisez le navigateur Brave, vous pouvez me laisser un pourboire sous forme de BAT sur mon site web ou mon compte Twitter. Vous pouvez aussi utiliser ce lien affilié si vous achetez des jeux, livres ou autres sur Humble Bundle.
Merci d’avoir lu et à la prochaine.
L’article Linux Gaming Francophone: une place pour les créateurs de contenu est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Comment jouer à Rocksmith 2014 sur Linux est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>
Si ce n’est pas déjà fait, il faut acheter et installer Rocksmith 2014.
Une fois le jeu installé, il faut configurer Wine spécifiquement pour ce jeu. En supposant que Steam est configuré pour installer les jeux dans le répertoire /home/user/.steam/steam, il faut brancher le câble Real Tone avant d’entrer les deux commandes suivantes dans le terminal :
WINEPREFIX=~/.steam/steam/steamapps/compatdata/221680/pfx winetricks sound=alsa
WINEPREFIX=~/.steam/steam/steamapps/compatdata/221680/pfx winecfg
Une fois ces commandes entrées, la fenêtre Configuration de Wine apparaîtra et il s’agit maintenant de configurer les valeurs suivantes et valider en cliquant sur le bouton OK:
Une fois que Wine est configuré pour ce jeu spécifiquement, il faut lancer Rocksmith 2014 au moins une fois pour faire générer un fichier de configuration INI (Rocksmith.ini) qu’il faudra configurer avant de lancer le jeu pour de vrai. Pour cela, il suffit de cliquer-droit sur le jeu et dans les propriétés, cliquer sur le bouton Définir les options de lancement et entrer la commande suivante:
PROTON_NO_D3D11=1 %command%
Après avoir lancé au moins une fois le jeu, le fichier Rocksmith.ini devrait maintenant apparaître dans le répertoire ~/.steam/steam/steamapps/common/Rocksmith2014 ou là où les jeux Steam sont installés. Il faut configurer les valeurs suivantes:
ExclusiveMode=0
Win32UltraLowLatencyMode=0
Pour s’assurer que le jeu marche bien, il faut le lancer et essayer de faire accorder son instrument. Si un message apparaît indiquant que le câble Real Tone n’est pas branché, désactiver PulseAudio devrait régler le problème. Pour cela, il faut entrer les commandes suivantes dans le terminal:
systemctl –user stop pulseaudio.socket
systemctl –user stop pulseaudio.service
Pour tout remettre comme avant:
systemctl –user start pulseaudio.socket
systemctl –user start pulseaudio.service
Si vous voulez discuter avec d’autres gens qui jouent sur Linux, rejoignez-nous au forum Linux Gaming Francophone.
N’hésitez pas à me faire part de vos questions et commentaires sur Twitter et Mastodon.
Aussi, si vous aimez ce que je fais et que vous utilisez le navigateur Brave, vous pouvez me laisser un pourboire sous forme de BAT sur mon site web ou mon compte Twitter. Vous pouvez aussi utiliser ce lien affilié si vous achetez des jeux, livres ou autres sur Humble Bundle.
Merci d’avoir lu et à la prochaine.
L’article Comment jouer à Rocksmith 2014 sur Linux est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article C’est reparti avec Manjaro est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>
Au début de mon aventure avec Linux, je commençais à être à l’aise avec la famille Debian/Ubuntu et particulièrement Linux Mint mais la famille Arch m’intriguait. Certes, sa réputation de distribution difficile à utiliser m’intimidait mais un collègue au bureau m’avait encouragé à essayer Manjaro qui est issu de la même famille. Au début, j’aimais bien m’en servir en mode Live USB mais comme je n’avais qu’un seul ordinateur de libre et que ma famille était déjà habituée à Linux Mint, j’avais décidé d’attendre de mettre la main sur un autre ordi pour l’installer dessus et ainsi avoir plusieurs distros à jouer avec.
Quand j’ai finalement acheté un ordinateur avec Pop!_OS et de l’espace pour une autre distro, j’avais initialement installé Manjaro mais après quelques erreurs de ma part, j’avais bousillé mon ordi au complet. Après avoir réinstallé Pop!_OS, j’avais décidé de mettre Manjaro de côté et tenter d’apprendre Arch pour voir si je suis capable de m’en servir. Après quelques mois de travail tout en prenant des notes en cours de route, j’avais enfin une installation Arch stable… ou du moins, je le croyais.
Après chaque installation, je trouvais toujours quelque chose qui clochait et je recommençais aussitôt depuis le début. Un jour, je n’arrivais plus à installer Arch comme il faut et je me suis aperçu que la distro avait tellement changé avec le temps que mes notes n’étaient plus à jour et je devais réapprendre à l’installer. Je me suis donc retrouvé face à un dilemme: repasser encore quelques mois à tout réapprendre ou installer Manjaro tout en faisant attention de ne pas le bousiller une nouvelle fois. Comme mon objectif est de me familiariser avec la famille Arch, j’ai décidé de mettre Arch de côté et donner une autre chance à Manjaro. De toute façon, je peux toujours expérimenter avec Arch sur une machine virtuelle tout en apprenant à l’installer à mon rythme. L’avenir me dira si j’ai fait le bon choix.
N’hésitez pas à me faire part de vos questions et commentaires sur Twitter et Mastodon.
Aussi, si vous aimez ce que je fais et que vous utilisez le navigateur Brave, vous pouvez me laisser un pourboire sous forme de BAT sur mon site web ou mon compte Twitter. Vous pouvez aussi utiliser ce lien affilié si vous achetez des jeux, livres ou autres sur Humble Bundle.
Merci d’avoir lu et à la prochaine.
L’article C’est reparti avec Manjaro est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Dépanneur nocturne: un jeu bilingue qui se passe à Montréal est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>
Dans l’écran-titre, l’interface dans le menu principal s’affiche en deux langues et lorsque vous rencontrez Eugénie, la propriétaire du dépanneur, votre façon de lui dire bonsoir dictera la langue utilisée pour le reste du jeu… ou du moins jusqu’à ce que vous lui dites que vous souhaitez vous exprimer dans l’autre langue.
Alors qu’au Québec, les panneaux et les affiches à l’extérieur sont presque entièrement en français, la langue d’usage à Montréal peut varier d’un quartier à un autre d’où la difficulté que les commerçants ont à accueillir les clients. Ce trait typiquement montréalais est mis en évidence dans le jeu à travers les panneaux de constructions et les enseignes en français à l’extérieur et la commerçante qui dit “bonsoir” au joueur et attend de voir si la conversation se poursuivra en français ou virera vers l’anglais. A propos, en regardant de plus près l’intérieur du dépanneur, il est possible d’y trouver le logo de la ville de Montréal ainsi que celui de l’ONF (Office national du film du Canada).
Comme c’est un français québécois qui est utilisé dans le jeu, certaines expressions peuvent être moins évidentes à comprendre pour un public n’ayant jamais vécu ni même visité le Québec. Par exemple, il y a beaucoup d’anglicisme comme “anyway” (en tout cas) ou des expressions comme “wouin c’est fin ça” (M’ouais, c’est gentil), “c’est correct” (ce n’est pas grave) ou “apportez-moi-le” (apportez-le-moi). Par contre, les expressions québécoises dans ce jeu ne sont pas aussi nombreuses et familières que dans The Messenger donc ça devrait être relativement facile à comprendre.
Le jeu se contrôle du point de vue de la première personne comme les jeux d’action sauf qu’ici, le but est d’explorer le dépanneur et de trouver quelque chose pour le copine du joueur. La fin dépend du temps passé dans le dépanneur, du nombre d’articles achetés et des articles eux-mêmes. Je ne peux pas en dire plus sans gâcher l’histoire.
Je vous recommande donc d’essayer ce jeu qui se termine plutôt vite mais permet au joueur d’apprendre un peu plus sur les cultures québécoise et montréalaise. Il est disponible sur Steam et itch.
N’hésitez pas à me faire part de vos questions et commentaires sur Twitter et Mastodon.
Aussi, si vous aimez ce que je fais et que vous utilisez le navigateur Brave, vous pouvez me laisser un pourboire sous forme de BAT sur mon site web ou mon compte Twitter. Vous pouvez aussi utiliser ce lien affilié si vous achetez des jeux, livres ou autres sur Humble Bundle.
Merci d’avoir lu et à la prochaine.
L’article Dépanneur nocturne: un jeu bilingue qui se passe à Montréal est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Mon premier ordinateur dédié à Linux et mon initiation à Arch Linux est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Dans mon dernier article, j’avais vanté les avantages d’avoir un système d’exploitation portatif. Comme ça tenait facilement dans une clé USB, je pouvais emprunter l’ordinateur de quelqu’un d’autre et m’en servir comme si c’était le mien. Pourquoi alors ai-je décidé d’acheter un ordinateur considéré haut de gamme?
C’est tout simplement parce que je ne pouvais plus continuer à emprunter l’ordinateur de ma famille tout en espérant que son propriétaire n’en aurait pas besoin en même temps que moi. De plus, c’est à peine assez puissant pour me permettre de jouer à des jeux plus anciens ou moins exigeants en termes de puissance. Quant à mon ordinateur de salon, je me rendais compte qu’utiliser un clavier et une souris sans-fil pour jouer dans le salon assis sur un canapé n’était pas très confortable. C’est pour ça que j’utilise de plus en plus l’ordinateur de salon comme un serveur multimédia pour regarder YouTube, Netflix, Amazon Prime, Plex ainsi que ma collection de vidéos et de moins en moins comme une console de jeux vidéo.
Enfin, c’est bien agréable de jouer dans le salon à des jeux sur une grande télé quand c’est avec une manette mais bien moins avec une souris et beaucoup de textes à lire.
C’est vrai que j’aurais pu prendre n’importe quel laptop pour y installer Linux ou me tourner vers DELL qui vend des modèles XPS pour développeurs qui viennent avec Ubuntu préinstallé. Comme j’ai passé ces derniers mois à utiliser Pop!_OS sur un DELL XPS 13 à travers ma clé USB, je sais que j’aurais été satisfait de mon achat. Puisque je voulais un ordinateur assez puissant pour jouer aux jeux récents sans avoir à jouer avec un clavier sur mes genoux et je refusais de payer une licence pour un système d’exploitation que je remplacerai aussitôt par Linux, ça ne laissait pas beaucoup de choix.
La plupart des laptops Linux venaient avec des cartes graphiques intégrés, les laptops conçus pour les jeux vidéo venaient avec Windows préinstallé et je n’étais pas intéressé à me bâtir un autre ordinateur de salon. C’est à ce moment-là que j’ai découvert la compagnie System76 qui a développé Pop!_OS et qui l’a optimisé pour ses propres produits. Parmi ceux-ci, je suis tombé sur l’Oryx Pro qui contient une carte graphique dédiée et est assez puissant sans être trop gros ou trop lourd donc facile à transporter.
Si Pop!_OS répond à mes besoins pour mon utilisation quotidienne et que j’ai bien apprécié ma brève expérience avec Manjaro qui un dérivé d’Arch, pourquoi est-ce que je m’aventurerais du côté d’Arch Linux?
J’ai lu quelque part qu’Arch et son dérivé Manjaro gagnent du terrain en termes de popularité chez les gamers comparés à Ubuntu et ses dérivés dont Pop!_OS pour des raisons de performance. Comme par hasard, mon nouveau laptop vient avec trois espaces de stockage, deux NVMe et un SSD. Comme j’utilise actuellement un NVMe pour Pop!_OS et un SSD pour ranger mes jeux, ça me laisse un NVMe pour tester une autre distro Linux. Je m’étais dit que ça pouvait être un défi intéressant d’installer Arch Linux manuellement.
Pour le moment, j’ai appris à installer Arch dans une machine virtuelle de VirtualBox sur deux types de partition: une de type MBR et une de type GPT. Prochaine étape: installer un environnement de bureau (ex: Xfce, KDE, GNONE, etc.).
Mon objectif est de compléter l’installation d’Arch sur une machine virtuelle pour ensuite répéter l’opération sur un NVMe. Une fois que c’est opérationnel, je pourrais comparer la performance de Pop!_OS et Arch sur certains jeux pour ma curiosité personnelle. Si vous voulez en savoir sur l’Oryx Pro de System76, suivez ce lien. Si vous voulez que je vous montre comment j’ai installé Arch sur une certaine partition, faites-moi signe.
Vous avez d’autres questions ou des commentaires? Je suis tout ouïe. On se voit dans le prochain article.
L’article Mon premier ordinateur dédié à Linux et mon initiation à Arch Linux est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Bloguer sur Steemit: un an après est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Depuis plusieurs années, je regardais beaucoup de vidéos sur YouTube et je rêvais souvent de devenir YouTubeur et de faire des sketchs mais je n’étais jamais assez motivé pour commencer. Depuis, j’ai fondé une famille et mes intérêts ont changé quand j’ai commencé à regarder des vidéos sur la motivation en général et d’autres sur des guides et des tutoriels de jeux vidéo. Mon objectif était maintenant de créer des vidéos aidant les gens à résoudre des problèmes liés aux jeux vidéo sachant que le plus grand obstacle était le temps puisque j’avais aussi ma famille, mon emploi et mes heures de sommeil à gérer.
J’essayais encore de trouver une manière efficace de créer des vidéos quand un jour, quelqu’un sur Twitter a parlé de Dtube, un concurrent de YouTube qui est un réseau décentralisé opérant sur la blockchain STEEM. Cela m’a éventuellement mené vers Steemit, un réseau similaire à Medium mais décentralisé et opérant sur la même blockchain. L’idée derrière ces réseaux était de pouvoir s’exprimer plus librement et de monétiser son contenu sous forme de cryptomonnaie nommée STEEM. Après réflexions, j’ai accepté le fait que pour le moment, rédiger des blogs et des tutoriels sur les jeux vidéo représentait le meilleur compromis entre m’exprimer sur Internet et être capable de mieux gérer mon temps. Créer des vidéos m’intéresse toujours mais cela devra attendre à une autre fois.
Au début, j’ai eu droit à un accueil chaleureux de la part de la communauté et la phrase que j’entendais souvent était:
Les gens viennent pour l’argent. Ils restent pour la communauté.
C’était en mars 2018 et le marché de la cryptomonnaie commençait déjà à s’essouffler mais les utilisateurs demeuraient nombreux et optimistes. Ils publiaient régulièrement des articles et étaient très actifs dans la section des commentaires.
Toutefois, au fil des mois, j’ai vu certains utilisateurs poster moins de contenu et d’autres disparaître. L’optimisme a laissé sa place au cynisme et à l’amertume face aux utilisateurs plus influents qui sont capables de générer au moins 100$ en postant une simple photo. Pendant ce temps, les blogueurs qui rédigeaient des articles d’une qualité de niveau journalistique peinaient à récolter 1$. Voyant mon lectorat s’effriter, je devais sortir de ma zone de confort et créer ma propre plateforme.
Tout en m’efforçant à publier mes articles sur Steemit avec une meilleure assiduité (j’y travaille encore), je continuais à regarder des vidéos sur la motivation, l’entreprenariat et le développement personnel. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de créer mon propre site web: Les Ateliers PHV
Grâce à l’outil Steempress, je pouvais maintenant faire publier mes articles simultanément sur mon site et mon compte Steemit. Quant aux réseaux sociaux, c’est l’outil Share2Steem qui se chargeait de repartager sur Steemit mes photos sur Instagram et mes publications sur Twitter.
Il y a un an, je publiais des articles sur les jeux vidéo rétro et maintenant, Linux s’ajoute à la liste des sujets que je prévois aborder dans mes ouvrages. Si vous lisez ces lignes, c’est que vous avez décidé de vous joindre à moi à la découverte des jeux vidéo et Linux ou qu’au moins, vous y pensez. Pour ça, merci du fond du cœur.
Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez surtout pas. On se voit dans le prochain article.
L’article Bloguer sur Steemit: un an après est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Perdre des sauvegardes: une tragédie est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Une chose que j’ai l’habitude de prendre pour acquis, malgré moi, est la capacité d’une console à préserver mes sauvegardes dans les jeux que je joue pendant une longue période de temps.
Avec le cloud, les disques durs et plus encore, les méthodes de stockage de données sont nombreux à mon expérience très fiables.
J’ai donc très vite oublié que les consoles rétro ont parfois une durée de vie quand il s’agit de la préservation de mes sauvegardes.
Une mauvaise expérience très récente me l’a rappelé…
Ceci est The Legend of Xanadu (le titre en Japonais est Xanadu – la légende du vent).
C’est un JRPG sur PC-Engine développé par Nihon Falcom, un de mes développeurs préférés jusqu’à récemment.
Source: Tigerfog
Le jeu est très long, avec beaucoup de grinding pour augmenter les stats du perso principal, ainsi que chacun de ses équipements… à chaque fois qu’ils sont changés.
Bref, même si j’aimais bien le jeu, j’en ai eu un peu marre après plusieurs heures alors je l’ai mis de côté pendant quelques mois.
Source: Tigerfog
Un jour, j’ai décidé de repartir de là où j’étais rendu dans le jeu.
J’allume le jeu et je choisis l’option de continuer.
J’arrive dans l’écran de chargement de partie et je vois cette horreur.
Source: Tigerfog
Ma sauvegarde n’existe plus!
Toutes mes heures, perdues!
Apparemment, ceci serait dû au fait qu’il y a une pile qui alimente la mémoire interne de la PC-Engine et que si elle meurt, toutes les sauvegardes dans la mémoire interne sont perdues.
Afin d’éviter cette situation, il est apparemment recommandé d’allumer la console de temps en temps pour recharger un peu la pile, chose que je n‘ai pas du tout fait.
N’étant pas du genre à baisser les bras trop vite et voulant absolument jouer au jeu sur la vraie console plutôt qu’un émulateur, je me suis renseigné sur une solution.
Il existe en fait une carte de jeu de PC-Engine qui sert uniquement à stocker des sauvegardes: La Tennokoe Bank (la banque de la voix des cieux)
Source: Tigerfog
Avec un nom pareil, ce produit devait être assez bon, même s’il date de l’époque de la PC-Engine.
Je l’ai donc commandé sur EBay et aussitôt reçu, je l’ai testé avec mes nouvelles sauvegardes de Legend of Xanadu.
Source: Tigerfog
Contrairement à la cartouche de mémoire de la Mega-CD, la Tennokoe Bank ne peut que servir de stockage de sauvegardes. Elle ne peut ni être accédée directement dans les jeux, ni utilisée directement pour sauvegarder.
Source: Tigerfog
C’est uniquement par l’interface de la Tennokoe Bank que je pouvais cloner la mémoire interne dedans, ou bien cloner la Tennokoe Bank vers la mémoire interne.
Eh oui, le processus est un clonage totale de la mémoire interne… impossible de manipuler les sauvegardes une par une.
Ce n’est bien sûr pas la fin du monde. Au moins ceci est une solution viable à mes problèmes avec ma PC-Engine et je pourrai réellement finir Legend of Xanadu un jour.
Si vous avez eu de mauvaises expériences avec les sauvegardes de jeux rétro, racontez-nous vos mésaventures ainsi que ce que vous avez fait pour y remédier!
L’article Perdre des sauvegardes: une tragédie est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Le distro hopping chez Linux et ce que j’en pense est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Au début, mon objectif était de trouver une distribution qui me permettrait de faire autant que possible les mêmes activités que dans Windows. J’ai parlé à des collègues et regardé des vidéos sur YouTube et j’entends souvent ceci:
Si tu es habitué à un environnement Windows et que tu veux utiliser ton ordinateur pour jouer aux jeux vidéo, va avec Linux Mint. C’est une bonne distribution… pour commencer.
Pour commencer? Est-ce que ça veut dire que je vais éventuellement devoir changer de distribution? En ce moment, Linux Mint 18.3 Cinnamon répond à mes besoins ainsi qu’à ceux de ma famille donc je ne ressens aucun besoin de changer juste pour changer. Du moins, c’est que ce je croyais.
Le doute a commencé à s’installer dans ma tête au fur et à mesure que je me renseigne sur les environnements et la fréquence des mises à jour. Certains préfèrent le groupe Debian/Ubuntu car beaucoup de logiciels et jeux sont développés avec ce groupe en tête. D’autres préfèrent Fedora/Red Hat et Arch/Manjaro/Antergos qui sont à la fine pointe de la technologie et en constante évolution. J’ai donc décidé de laisser l’ordinateur de famille tranquille et utiliser le laptop de ma femme comme cobaye pour tester les autres distributions.
Je comprends maintenant pourquoi les utilisateurs Linux déconseillent aux gens d’acheter un laptop flambant neuf et d’y installer Linux. Ce n’est pas juste qu’ils paieront pour une licence Windows ou Mac qu’ils n’utiliseront pas, rien ne garantit que les composantes ou même le laptop entier sera compatible avec la distribution de leur choix. Je l’ai rapidement appris en tentant de booter Manjaro et ensuite Antergos dans un Dell XPS 13 9350 comme l’indique l’image ci-dessous.
Bien entendu, tout est possible avec un peu de recherche mais je n’étais pas prêt à risquer de détruire le laptop de ma femme en jouant dans le BIOS. Mon aventure avec la famille Arch va donc devoir attendre à une autre fois. Au moins, j’ai pu booter Manjaro dans l’ordinateur de famille donc ma clé USB n’était pas défectueuse.
En somme, cette expérience a plutôt été positive. J’ai réussi à booter Linux Mint 19.1 Xfce et Fedora 29 GNOME dans le laptop donc au lieu d’acheter mon propre laptop, je peux toujours utiliser celui de ma femme. Un collègue m’a expliqué qu’il est possible d’installer Linux sur un SSD relié avec un câble SATA vers USB-C et ce sera comme booter dans un SSD interne. Je vais mettre ça dans la pile de projets personnels pour cette année. J’espère ainsi pouvoir rédiger des tutoriels pour autre chose que juste Linux Mint.
Questions? Commentaires? N’hésitez pas, merci d’avoir lu et à plus.
L’article Le distro hopping chez Linux et ce que j’en pense est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Extraire des ROMs de Sega Mega Drive & Genesis Classics achetés sur Steam dans Linux Mint 18.3 est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Je voudrais tout d’abord remercier ETA Prime pour m’avoir inspiré à rédiger ce tutoriel. Sa vidéo explique comment extraire les ROMs, les renommer et les utiliser dans Retroarch, un outil multiplatforme rassemblant de nombreux émulateurs. Pour en savoir plus:
Source: ETA Prime
Pourquoi alors est-ce que je prends la peine de rédiger tout ça si ETA Prime a déjà tout expliqué. Deux raisons:
Si vous utilisez Windows aussi ou vous êtes capables de reconnaître les ROMs malgré la nomenclature étrange utilisée par Sega, la vidéo d’ETA Prime vous conviendra parfaitement. Par contre, si vous préférez un tutoriel plus orienté vers Linux ou avoir un script renommant les noms des fichiers pour vous, je vous inviterais à poursuivre la lecture.
Vous pouvez acheter légalement certains jeux de Genesis/Mega Drive sur Steam individuellement ou en un paquet spécial nommé Sega Mega Drive & Genesis Classics à travers ce lien affilié sur Humble Bundle. A partir d’ici, j’utiliserai le terme Sega Classics pour désigner le paquet Sega Mega Drive & Genesis Classics afin d’alléger le tutoriel.
Puisque le jeu Sega Classics n’est pas disponible de manière native sur Linux, il faut s’assurer que Steam soit configuré pour accepter d’exécuter tous les jeux en mode SteamPlay à l’aide de Proton. Cela permettra à Sega Classics d’apparaître dans la liste des jeux et d’être installé.
Une fois l’installation terminée, il faut cliquer-droit sur le jeu Sega Classics et choisir Propriétés dans le menu contextuel (voir image ci-dessous).
Source: capture d’écran personelle
Cliquer sur le bouton Parcourir les fichiers locaux sous l’onglet Fichiers locaux indiquera l’emplacement du répertoire de Sega Classics dans l’ordinateur (voir image ci-dessous).
Source: capture d’écran personnelle
Normalement, si l’utilisateur s’appelle klebs et ne change pas l’emplacement des jeux déterminé par défaut par Steam, le répertoire devrait se trouver dans /home/klebs/.steam/steam/steamapps/common/Sega\ Classics
Dans mon cas comme l’indique la capture d’écran ci-dessus, le répertoire se trouve dans
/mnt/DATA/Jeux/Steam/steamapps/common/Sega\ Classics
En supposant que l’utilisateur s’appelle klebs et utilise l’emplacement par défaut des jeux Steam, les commandes suivantes dans le terminal vont créer une copie des ROMs dans un autre répertoire et créer un fichier CSV avec nano:
cd /home/klebs/.steam/steam/steamapps/common/Sega\ Classics
cp -R uncompressed\ ROMs/ ~/Documents/SegaROMS
cd ~/Documents/SegaROMS
nano segaclassicslist.csv
Avant de faire copier la liste ci-dessous dans nano, il faut s’assurer que tout est là. Aussi, les noms doivent concorder avec le contenu du répertoire SegaROMS.
ALEXKIDD_U.68K,Alex Kidd in the Enchanted Castle (USA).gen AlienSoldier_Europe.SGD,Alien Soldier (Europe).md AlienStorm_USA.SGD,Alien Storm (USA).gen ALTEREDB_UE.68K,Altered Beast (USA).gen BEYONDOA_E.68K,The Story of Thor (Europe).md BEYONDOA_F.68K,The Story of Thor (France).md BEYONDOA_G.68K,The Story of Thor (Germany).md BEYONDOA_J.68K,The Story of Thor - Hikari o Tsugumono (Japan).bin BEYONDOA_S.68K,The Story of Thor (Spain).md BEYONDOA_U.68K,Beyond Oasis (USA).gen BONANZAB_JE.68K,Bonanza Bros. (Europe).md Columns3_USA.SGD,Columns III (USA).gen COLUMNS_W.68K,Columns (World).gen COMIXZON_U.68K,Comix Zone (USA).gen CrackDown_USA.SGD,Crack Down (USA).gen Crying_USA.SGD,Bio Hazard Battle (USA).gen DECAP_UE.68K,DEcapAttack (USA).gen DYNAHEAD_J.68K,Dynamite Headdy (Japan).bin DYNAHEAD_UE.68K,Dynamite Headdy (USA).gen ECCO2_U.68K,Ecco - The Tides of Time (USA).gen eccojr.smd,Ecco Jr. (USA).gen ECCO_UE.68K,Ecco the Dolphin (USA).gen ESWAT_U.68K,ESWAT - City Under Siege (USA).gen EternalChampions_USA.SGD,Eternal Champions (USA).gen FATALLAB_JU.68K,Fatal Labyrinth (USA).gen FLICKY_UE.68K,Flicky (USA).gen GAING_UE.68K,Gain Ground (USA).gen GalaxyForceII_UE.SGD,Galaxy Force II (USA).gen GAXE2_W.68K,Golden Axe II (World).gen GAXE3_J.68K,Golden Axe III (Japan).bin GAXE_W.68K,Golden Axe (World).gen Gunstar Heroes U.bin,Gunstar Heroes (USA).gen KIDCHAM_UE.68K,Kid Chameleon (USA).gen LandStalker_USA.SGD,Landstalker (USA).gen LightCrusader_USA.SGD,Light Crusader (USA).gen MonsterLair_JUE.SGD,Wonder Boy III - Monster Lair (Europe).md MonsterWorld3.SGD,Wonder Boy V - Monster World III (Japan).bin MonsterWorld3_USA.SGD,Wonder Boy in Monster World (USA).gen PhantasyStar2_UE_GreenCrossFix.SGD,Phantasy Star II (USA).gen PhantasyStar3_USA.SGD,Phantasy Star III - Generations of Doom (USA).gen PhantasyStar4.SGD,Phantasy Star IV (USA).gen RISTAR_UE.68K,Ristar (USA).gen ROBOTNIK_U.68K,Dr. Robotnik's Mean Bean Machine (USA).gen ShadowDancer.SGD,Shadow Dancer - The Secret of Shinobi (World).gen SHINING2_U.68K,Shining Force II (USA).gen SHININGD_UE.68K,Shining in the Darkness (USA).gen SHININGF_U.68K,Shining Force (USA).gen SHINOBI3_U.68K,Shinobi III - Return of the Ninja Master (USA).gen SONIC2_W.68K,Sonic The Hedgehog 2 (World).gen SONIC3D_UE.68K,Sonic 3D Blast ~ Sonic 3D Flickies' Island (USA).gen Sonic_Knuckles_wSonic3.bin,Sonic & Knuckles + Sonic The Hedgehog 3 (World).gen SONICSPI_U.68K,Sonic The Hedgehog Spinball (USA).gen SONIC_W.68K,Sonic The Hedgehog (World).gen sov.smd,Sword of Vermilion (USA).gen SPACEHARRIERII.bin,Space Harrier II (World).gen STHUNDER_W.68K,Super Thunder Blade (World).gen STREETS2_U.68K,Streets of Rage 2 (USA).gen STREETS3_E.68K,Streets of Rage 3 (Europe).md STREETS3_J.68K,Bare Knuckle III (Japan).bin STREETS3_U.68K,Streets of Rage 3 (USA).gen STREETS_W.68K,Streets of Rage - Bare Knuckle - Ikari no Tetsuken (World).gen TheSuperShinobi_JUE.SGD,The Revenge of Shinobi (USA).gen ToeJamEarl.SGD,ToeJam & Earl (World).gen ToeJamEarl2_USA.SGD,ToeJam & Earl in Panic on Funkotron (USA).gen VECTMAN2_U.68K,Vectorman 2 (USA).gen VECTMAN_UE.68K,Vectorman (USA).gen VIRTUAFIGHTER2.bin,Virtua Fighter 2 (USA).gen
Après avoir sauvegardé et fermé le fichier CSV, c’est le temps de rédiger le script qui renommera les fichiers:
nano segaclassicsrename.sh
#!/bin/bash IFS="," while read f1 f2 do echo "rename from : $f1" echo "to : $f2" mv $f1 "$f2" echo "done" done < segaclassicslist.csv
Après avoir sauvegardé et fermé le script, il suffit de le rendre exécutable et de l’exécuter:
chmod +x ./segaclassicsrename.sh
./segaclassicsrename.sh
Si tout s’est bien passé, les noms des fichiers devraient maintenant être plus représentatifs des jeux.
Questions? Commentaires? N’hésitez pas, merci d’avoir lu et à plus.
L’article Extraire des ROMs de Sega Mega Drive & Genesis Classics achetés sur Steam dans Linux Mint 18.3 est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>L’article Partenariat avec Humble Bundle + Promo The Messenger est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>Source: Tigerfog, Humble Bundle
Quelqu’un qui est en partenariat avec Humble Bundle peut aider ce dernier à vendre des produits en échange de commissions en fournissant ce qu’on appelle des liens affiliés. Lorsque vous cliquez sur un de ces liens et que vous achetez le produit présent dans le lien en question ou quelque chose d’autre sur le site de Humble Bundle, je reçois une commission de la vente. La meilleure? Il n’y a aucun frais supplémentaire de votre côté. Par contre, en passant par mes liens affiliés pour acheter quelque chose sur Humble Bundle, vous contribuez à aider le blog (ex: achats d’accessoires de consoles rétros pour des tests, investissement sur le développement du site, etc.).
Vous cliquez sur l’image ci-dessous ou une autre pareille dans la page d’accueil pour accéder au site de Humble Bundle.
Ensuite, vous achetez quelque chose sur le site. Après ça? C’est tout.
Voici le premier lien affilié sous forme d’image que je voudrais partager avec vous:
Source: Sabotage, Devolver Digital
The Messenger est un jeu d’action 2D aux graphismes rétros et fortement inspiré de Ninja Gaiden sur NES. Ça fait un moment que c’est sorti et j’ai longtemps hésité à le prendre car ce n’était pas disponible sur Linux. Par contre, voyant qu’il est maintenant jouable sur Steam avec l’outil Proton (j’utilise actuellement la version 3.16-6 Beta), je me suis lancé et je ne le regrette pas.
Ce qui m’a le plus amusé? Voir un ninja parler en français québécois.
Source: iPhone, Tigerfog
Besoin de plus que de simples images et recommandations? Voyez par vous-même:
Source: Sabotage, Devolver Digital
Ne tardez pas car The Messenger est à 30% de réduction jusqu’au lundi 11 février à 14h (heure de Montréal).
Questions? Commentaires? N’hésitez pas, merci d’avoir lu et à plus.
L’article Partenariat avec Humble Bundle + Promo The Messenger est apparu en premier sur Les Ateliers PHV.
]]>